Le Haut Val Sauvage 4e épisode

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À peines sorties de leur sommeil hivernal, les marmottes doivent renouveler leur litière. Crocus, gentianes et anémones marquent le renouveau alors que dans les couloirs apparaissent les douloureux stigmates des avalanches hivernales. Troncs broyés par la puissance pernicieuse des masses de neige en mouvement. Autant d’obstacles dressés aux jeunes cabris de chamois qui découvrent leur univers sur leurs jambes déjà fort adroites. Sous la conduite de leurs mères, ils forment de joyeuses garderies qui affectent l’herbe à nouveau verte et les névés glissants. Leurs réunions se déroulent sous le regard des aiglons et des gypaétons pressés de quitter leur aire, qui ne lésinent pas sur la chair des mêmes cabris apportés par leurs parents. Au début de chaleurs quasi estivales, les chèvres bouquetins mettent bas elles-aussi; elles s’égayent aux cabrioles de leur progéniture. Le monde sauvage ne s’étonne pas du paradoxe d’une nature tragique par essence, il se nourrit, tout simplement, et y exprime une joie communicative.

Musique originale de Thierry Epiney

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Description

 

Film de 23 minutes      Plus de détails et commande (disponible au téléchargement)

À peines sorties de leur sommeil hivernal, les marmottes doivent renouveler leur litière. Crocus, gentianes et anémones marquent le renouveau alors que dans les couloirs apparaissent les douloureux stigmates des avalanches hivernales. Troncs broyés par la puissance pernicieuse des masses de neige en mouvement. Autant d’obstacles dressés aux jeunes cabris de chamois qui découvrent leur univers sur leurs jambes déjà fort adroites. Sous la conduite de leurs mères, ils forment de joyeuses garderies qui affectent l’herbe à nouveau verte et les névés glissants. Leurs réunions se déroulent sous le regard des aiglons et des gypaétons pressés de quitter leur aire, qui ne lésinent pas sur la chair des mêmes cabris apportés par leurs parents. Au début de chaleurs quasi estivales, les chèvres bouquetins mettent bas elles-aussi; elles s’égayent aux cabrioles de leur progéniture. Le monde sauvage ne s’étonne pas du paradoxe d’une nature tragique par essence, il se nourrit, tout simplement, et y exprime une joie communicative.

Musique originale de Thierry Epiney

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